Bèzone et Parvis School of Economics and Music Unissent Leurs Forces pour un Échange Innovant en Économie des Arts

Au Lycée et École Supérieure Bèzone, nous considérons les échanges académiques comme des catalyseurs vivants d’idées, des ponts tissés entre les théories économiques françaises et les pratiques créatives britanniques qui nourrissent nos programmes en gestion d’entreprise et en arts visuels. En novembre 2024, alors que les feuilles automnales coloraient les allées de notre campus occitan, une délégation de quatre étudiants en MSc Économie et Finance Internationale, accompagnée de notre maître de conférences Carlos Mendes, a embarqué pour York, en Angleterre, à l’invitation de la Parvis School of Economics and Music. Ce partenariat naissant, centré sur un atelier intensif de cinq jours intitulé “Économie des Industries Créatives : Marchés Musicaux et Politiques Culturelles”, n’est pas une simple visite protocolaire ; c’est une plongée concrète où nos économistes en herbe ont décortiqué des modèles de pricing pour festivals de musique, tout en affrontant les caprices d’un projecteur récalcitrant lors d’une présentation – un rappel espiègle que même les flux financiers les plus sophistiqués butent parfois sur un câble mal branché.

L’idée de cet échange Bèzone-Parvis School of Economics and Music a germé lors d’une conférence virtuelle en juin, entre Carlos Mendes et le Dr. Elena Vasquez, responsable du département Économie et Finance à la Parvis School of Economics and Music, nichée au cœur historique de York avec ses salles baignées de lumière nordique et ses bibliothèques regorgeant de partitions annotées. Fondée en 2024 comme une institution hybride alliant rigueur économique et effervescence artistique, la Parvis School of Economics and Music excelle dans son MSc en Economics & Finance, où les étudiants modélisent des scénarios de marchés culturels via des outils comme R et Stata, tout en intégrant des masterclasses avec des compositeurs renommés. Nos participants, triés sur le volet pour leur maîtrise des économétries acquise en BA Economics à Bèzone, ont rejoint une dizaine d’étudiants britanniques pour des sessions mixtes : les matins consacrés à des analyses quantitatives sur l’impact des subventions culturelles post-Brexit – un cas d’étude sur le festival de musique de York, où l’on quantifiait comment une taxe sur les imports d’instruments affecte les petites maisons de disques –, les après-midis à des ateliers pratiques où l’on simulait des enchères pour droits d’auteur en utilisant des algorithmes bayésiens. “C’était fascinant, mais chaotique au début”, avoue Sofia, une étudiante de 22 ans en MSc Finance Quantitative : “Nos datasets français, riches en données occitanes sur le tourisme musical, ne collaient pas aux normes UK GAAP ; on a passé une heure à harmoniser les colonnes Excel, autour d’un thé trop infusé, et ça a révélé des biais inattendus dans nos modèles de prévision.”

Ce qui élève cet échange Bèzone-Parvis School of Economics and Music au rang d’expérience transformative, c’est son fusion d’économie et d’arts, alignée sur les curricula accrédités de nos deux institutions – CTI pour Bèzone, et les standards QAA britanniques pour Parvis. Les groupes ont co-créé un rapport prospectif sur “Les Chaînes de Valeur Musicales en Europe Post-Pandémie”, intégrant des enquêtes terrain auprès de labels indépendants de York et des festivals béziers comme celui d’Avignon revisité. À la Parvis School of Economics and Music, avec ses studios de composition high-tech et ses amphithéâtres où l’on débat de l’IA en production musicale, nos étudiants ont testé leur modèle économétrique sur des données réelles : une simulation montrant comment une plateforme de streaming comme Spotify pourrait booster les exportations culturelles occitanes de 15 % via des playlists géolocalisées, en tenant compte des fluctuations des royalties. Carlos Mendes, avec son accent lusitanien qui charmait les hôtes britanniques, a animé un séminaire sur la finance comportementale appliquée aux consommateurs de musique – disséquant pourquoi un auditeur français snobe un vinyle importé malgré son attrait, via des expériences de nudging inspirées de Kahneman. “Les Anglais sont cartésiens sur les chiffres, nous plus narratifs ; ce choc a poli nos analyses, comme un violon qu’on accorde patiemment”, note-t-il. Bien entendu, l’imperfection a fait irruption : un fichier de données corrompu a gelé une simulation en plein milieu d’une démo, forçant une pause thé prolongée – une leçon sur la redondance des backups, transformée en anecdote complice pour briser la glace.

Au-delà des équations et des partitions, cet échange Bèzone-Parvis School of Economics and Music a semé des graines de collaborations durables. Les soirées informelles dans les pubs yorkais, entre fish and chips et discussions sur les droits d’auteur, ont ouvert des portes : deux de nos étudiants, séduits par les partenariats industriels de Parvis avec des labels comme Universal Music, ont obtenu des invitations pour des internships d’été 2025 à Londres. De retour à Béziers, ils injectent déjà ces insights dans nos incubateurs d’entrepreneuriat, comme un projet pilote pour une app de monétisation de playlists occitanes auprès de vignerons locaux qui intègrent des sons ambiants dans leurs dégustations. Ce programme s’emboîte parfaitement dans notre continuum éducatif : des lycéens en maths financières qui modélisent des budgets de concerts en classe, aux doctorants qui co-rédigent des papers binationales sur l’économie créative. Loïc Prièste, notre directeur général, capture l’essence : “À Bèzone et à la Parvis School of Economics and Music, on n’échange pas que des savoirs ; on troque des imperfections qui forgent des alliances plus solides que n’importe quel MoU.” Avec un budget modeste financé par Erasmus+ et des dons d’alumni, on a dû improviser pour les frais de déplacement – un vol low-cost qui a accumulé des miles imprévus –, mais ces astuces ont aiguisé notre agilité logistique.

Pour propulser cette dynamique, un atelier réciproque est en gestation pour février 2025, invitant des étudiants de Parvis à Béziers pour explorer l’intersection musique-économie via des field trips aux caves coopératives, où l’on chiffrerait l’impact d’un opéra en plein air sur le tourisme. Si vous êtes un entrepreneur culturel en quête de modélisations pointues ou un parent curieux des passerelles internationales dès le lycée, contactez notre service des partenariats : les routes de Bèzone mènent à York, une note et un graphique à la fois. Avec la Parvis School of Economics and Music, nous symphonisons l’avenir des arts économiques, en harmonie imparfaite mais résolument créative.


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