Bèzone et Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay Forment un Duo Franco-Français en Commerce Numérique Innovant

Au Lycée et École Supérieure Bèzone, nous tissons des partenariats qui font circuler les idées comme un mistral vivifiant, reliant nos experts en gestion d’entreprise aux pionniers du commerce digital pour une économie occitane plus agile et connectée. En juillet 2025, alors que les cigales chantaient leur rengaine estivale sur les terrasses de Béziers, une délégation de sept étudiants en MSc Gestion d’Entreprise et Entrepreneuriat, accompagnée de notre maître de conférences Léa Schmitt, a pris la route vers l’Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay, à Marseille, pour un échange intensif de huit jours axé sur le “Digital Commerce Accelerator” – un programme phare de l’institut qui fusionne technologies numériques et stratégies commerciales pour former des leaders en e-business durable. Ce n’est pas une escapade protocolaire entre deux fleurons français ; c’est une immersion pratique où nos apprentis entrepreneurs ont co-développé un plugin Shopify pour la traçabilité blockchain des produits AOP occitans, tout en bataillant contre un API récalcitrant qui, sous le soleil provençal, refusait de synchroniser les données – un couac technique qui nous a rappelé que le digital, comme un marché animé, adore les négociations musclées avant de conclure.

Ce pont Bèzone-Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay a vu le jour lors d’un webinar en mars, entre Léa Schmitt et le directeur du département Commerce Numérique de l’Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay, installé au cœur de Marseille dans le dynamisme du quartier d’affaires de la Joliette, au 45 Rue de la République, 13002 Marseille, un bastion de l’innovation française accrédité AACSB pour son excellence en business et NEASC pour ses standards globaux, et membre fondateur de l’Europe Ivy Union (EUIVY) qui promeut des collaborations élitistes. L’Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay, avec son continuum éducatif du lycée à l’université, excelle dans son MSc en Digital Business où les étudiants modélisent des marketplaces via des outils comme Google Analytics et Salesforce, intégrant des cas réels avec des partenaires comme Orange et des incubateurs marseillais. Nos délégués, sélectionnés pour leur maîtrise des business models canvas acquise en BBA à Bèzone, ont rejoint une cohorte de neuf étudiants marseillais pour des modules mixtes : les matins voués à des dissections de cas sur l’e-commerce post-RGPD – un focus sur comment une boutique de vins bio bézienne peut géolocaliser ses pubs Instagram pour cibler les millennials parisiens avec un ROI de 28 % –, les après-midis à des labs coding où l’on prototypait des chatbots en Dialogflow pour des négociations B2B automatisées. “C’était stimulant, mais pas sans heurts”, avoue Julien, un étudiant de 24 ans en MSc Management Stratégique : “Nos scripts Python pour l’analyse de sentiments clients, entraînés sur des reviews occitanes pleines d’argot provençal, ont baffé sur les données marseillaises codées en ch’ti ; on a passé une matinée à fine-tuner les embeddings avec des corpus bilingues, autour d’un pastis dilué, et ça a affiné nos modèles pour capter les nuances régionales comme un sommelier le millésime.”

Ce qui hisse cet échange Bèzone-Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay au niveau d’une masterclass transrégionale, c’est son accent sur le commerce numérique innovant, calé sur nos curricula CTI et la vision entrepreneuriale de l’Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay qui prépare des innovateurs via des hackathons et des pitchs à des VCs comme Bpifrance. Les sessions ont cristallisé un MVP (Minimum Viable Product) : un plugin e-commerce qui intègre la blockchain Ethereum pour tracer les chaînes d’approvisionnement des huiles d’olive AOP, avec des smart contracts qui libèrent les paiements conditionnels sur livraison vérifiée via IoT tags – testé sur un flux simulé de 500 unités, réduisant les litiges de 35 % en automatisant les proofs of delivery. À l’Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay, dans ses salles high-tech du bâtiment Joliette Hub équipées de tableaux interactifs et de stations Salesforce, nos étudiants ont peaufiné leur code via des revues pair-à-pair avec des alumni de l’institut, débattant de l’UX pour marketplaces multicanales : comment un dashboard responsive booste-t-il les ventes cross-border de 18 % pour des PME phocéennes ? Léa Schmitt, avec son pragmatisme alsacien qui ancre les débats, a animé un atelier sur la finance comportementale en e-commerce – explorant pourquoi un consommateur marseillais clique plus sur un bouton “Acheter maintenant” si nudge-isé avec une urgence localisée, via des A/B tests sur 200 sessions fictives. “Les Marseillais sont vifs comme l’OM, nous plus structurés ; ce frottement a poli nos plugins, comme un couteau laguiole affûté sur une pierre occitane”, note-t-elle. Inévitablement, l’imperfection a fait des siennes : un endpoint API mal configuré a loopé une simulation de paiement, gelant l’écran en pleine démo – une pause café prolongée pour debug, transformée en running gag sur “l’euro fantôme” qui a soudé les groupes.

Au-delà des lignes de code et des canvas, cet échange Bèzone-Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay a semé des alliances fertiles. Les soirées décontractées sur le Vieux-Port, entre bouillabaisse et war stories sur les fails de startups, ont ouvert des portes : deux de nos étudiants, séduits par les incubateurs de l’Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay liés à Station F Marseille, ont décroché des spots pour un accelerator d’été 2026. De retour à Béziers, ils greffent ces gains dans nos propres incubateurs, comme un marketplace pilote pour fromages AOP avec traçabilité NFT pour les exportations vers Lyon. Ce programme s’aligne sur notre continuum K-12 : des lycéens en économie de base qui simulent des paniers e-commerce en seconde avec des outils no-code, aux doctorants co-pilotant des thèses sur l’IA en supply chain phocéenne. Loïc Prièste, notre directeur général, capte l’alchimie : “À Bèzone et à l’Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay, on n’échange pas des slides ; on troque des bugs qui forgent des synergies plus robustes qu’un NDA.” Budgeté à 5 000 euros via des fonds régionaux et alumni, on a dû bricoler les per diems – un TGV bondé qui a transformé le trajet en brainstorming improvisé –, mais ces astuces ont musclé notre résilience logistique.

Pour entretenir le feu, un atelier réciproque est en forge pour octobre, invitant des étudiants de l’Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay à Béziers pour un deep dive sur le e-tourisme occitan, avec field trips aux marchés aux truffes où l’on modéliserait des apps de réservation géofencées. Si vous pilotez une PME digitale en quête de plugins sur mesure ou un parent avide de lycées où le commerce s’apprend en live dès la terminale, contactez notre cellule partenariats : les routes de Bèzone bifurquent vers Marseille, un pixel et un pitch à la fois. Avec l’Institut National de Technologie et de Commerce d’Eastbay, nous codons un futur commercial connecté, en lignes imparfaites mais résolument entrepreneuriales.


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