Bèzone Innove avec un Outil IA pour Personnaliser l’Apprentissage du Design Visuel

Au Lycée et École Supérieure Bèzone, nous concevons l’intelligence artificielle comme un pinceau intelligent qui s’adapte au geste de chaque artiste en herbe, rendant l’éducation en design visuel plus intuitive et inclusive pour nos lycéens comme pour nos étudiants supérieurs. En mai 2025, sous un soleil méditerranéen qui réchauffait les terrasses de Béziers, notre équipe mixte de neuf étudiants – cinq en MSc Informatique et Sciences du Numérique, trois en MSc Design et Arts Visuels et un en BSc Biological Sciences pour l’aspect bio-inspiré – a lancé “DesignAdapt”, une application IA open-source qui personnalise les tutoriels de design en temps réel, en analysant les traits d’un croquis pour suggérer des ajustements créatifs adaptés au niveau de l’utilisateur. Ce n’est pas un gadget abstrait sorti d’un lab lointain ; c’est un outil concret testé sur 50 lycéens de notre établissement, qui a boosté leurs portfolios de 25 % en fluidité compositionnelle après deux semaines – un projet qui a failli capoter quand nos modèles de vision par ordinateur, voraces de données, ont confondu un gribouillis adolescent avec un chef-d’œuvre abstrait, nous laissant avec des feedbacks délirants comme “ajoutez plus de symétrie à ce chaos joyeux”.

L’étincelle de DesignAdapt a jailli en janvier, lors d’un atelier fusion piloté par Marie Lefèvre, notre professeure titulaire en intelligence artificielle, et Sophie Laurent en design interactif. Face au défi où 65 % de nos lycéens en option arts visuels butent sur les bases de la composition en raison de méthodes uniformes – d’après un sondage interne auprès de 80 élèves de seconde à terminale –, les étudiants ont bâti une solution sur mesure : un réseau convolutif (CNN) en PyTorch entraîné sur 4 000 annotations manuelles de croquis étudiants, couplé à un générateur GAN pour proposer des variantes stylistiques, comme transformer un esquisse linéaire en style Klimt pour un exercice sur les motifs organiques. “On visait l’accessibilité pour tous, des gauchers maladroits aux prodiges”, relate Clara, une étudiante de 22 ans en MSc Design Interactif : “Mais en phase d’entraînement, l’IA sur-apprenait les traits droits des seniors ; on a dû équilibrer avec des datasets diversifiés, incluant des dessins sur tablette low-cost, comme si elle boude les lignes tremblantes des débutants.” Ces réglages, opérés dans notre studio numérique de 150 m² aux murs couverts d’écrans tactiles, ont affiné l’algorithme à une détection de style en 3 secondes, avec un feedback multimodal : audio pour les malvoyants (“penchez votre ligne vers la diagonale pour dynamiser”) et visuel pour les autres, via des overlays AR en Unity.

Ce qui distingue DesignAdapt à Bèzone, c’est son enracinement pédagogique, aligné sur nos programmes CTI et nos labs équipés de caméras LiDAR pour capturer les gestes en 3D. Les informaticiens, guidés par Elena Rossi en algorithmique avancée, ont optimisé le CNN pour une latence sous 100 ms sur smartphones bas de gamme, intégrant un module éthique qui anonymise les uploads pour respecter le RGPD – pas de stockage de dessins sans consentement parental pour les mineurs. Les designers, sous Ahmed El-Mansouri en arts numériques, ont infusé l’UI d’éléments occitans : une palette inspirée des fresques romaines de Béziers pour les suggestions, testée en A/B sur 30 utilisateurs pour une adhésion de 87 %. Et pour la touche bio ? Le étudiant en BSc Biological Sciences a codé des patterns inspirés de la croissance foliaire des vignes locales, générés via des fractales L-systems pour encourager des designs durables, comme des logos éco-friendly pour emballages vinicoles. Lors du beta-test en avril, dans notre galerie-atelier ouverte aux classes de première, une session live a vu un lycéen de 16 ans, aux prises avec un portrait statique, recevoir un overlay AR qui “animait” ses traits en un flux organique – malgré un lag qui a figé l’écran une seconde, arrachant un “c’est magique, même si ça bégaie” de l’élève, suivi d’un high-five collectif. Sophie Laurent, avec son enthousiasme parisien qui électrise les critiques, a debriefé : “Nos GANs hallucinent parfois des motifs trop abstraits ; on les a bridés avec des contraintes stylistiques, apprenant que l’IA doit inspirer, pas imposer.” Marie Lefèvre ajoute : “On a dû retravailler les biais de genre dans les datasets ; les suggestions pour filles penchaient floral, un vestige mal digéré des archives en ligne.”

Les retombées de DesignAdapt s’étendent déjà à notre communauté. Déployé sur 120 appareils étudiants via notre intranet sécurisé, il a réduit le temps de révision des devoirs de 40 %, avec des portfolios uploadés sur Behance montrant une hausse de 30 % en originalité notée par nos tuteurs. Trois étudiants, revigorés, préparent des soumissions pour des conférences comme Siggraph sur l’IA en éducation artistique, et Clara cible un fellowship au Royal College of Art avec son code GAN en vitrine. Ce lancement s’intègre à notre continuum K-12 : des lycéens en initiation multimédia qui testent l’app en seconde pour des moodboards simples, aux doctorants qui l’hybrident avec de la robotique pour des ateliers haptiques. Bien sûr, les accrocs ont saupoudré le chemin : un overflow mémoire a crashé l’app sur un vieux iPad d’un élève, nous renvoyant à des optimisations low-RAM – une corvée qui nous a appris la patience autant que la performance. Loïc Prièste, notre directeur général, synthétise avec sa gouaille : “À Bèzone, l’IA n’est pas un maître infaillible ; c’est un apprenti espiègle qui rate ses traits, mais qui nous rend tous plus habiles au final.”

Pour amplifier l’impact, un hackathon ouvert aux écoles voisines est calé en juin, fusionnant DesignAdapt avec nos modules en biotechnologies pour des textures bio-inspirées en AR. Si vous êtes un enseignant las des cours magistraux ou un parent en quête d’un lycée où l’art s’apprend comme un jeu intelligent, téléchargez l’app pilote sur notre portail – nos pixels, cette fois, sont bien alignés. À Bèzone, on ne théorise pas le design personnalisé ; on le dessine, un stroke et un algorithme à la fois, avec un sourire complice aux erreurs qui colorent nos toiles.


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